Prêt à tout pour remporter face à son meilleur rival, Tan Fu, le concours annuel de la lanterne, Lung Shu-ai gâte l’artisan Chao Chun-fang en contrepartie de quoi il exige la victoire. Chao accepte alors de lui confectionner une lanterne qui lui permettra de remporter facilement le concours mais à la condition que Lung ne lui rende jamais visite tant que la compétition n’est pas terminée. Chao et Lung s’étaient pourtant affrontés auparavant lors d’une lutte qui s’était conclue sur une cicatrice marquant le visage de Chao. Mais après avoir accepté ce marché, ce dernier, cherche dorénavant à se venger. Il décide donc de torturer une femme convoitée par l’homme responsable de sa cicatrice. C’est cependant sur Lung que la police porte ses soupçons. Chao en profite alors pour kidnapper la sœur de Tan, Chung Hua, réussissant ainsi à monter Tan et Lung l’un contre l’autre…
Critique
Dans la prolongation des quelques œuvres d’horreur éparses sorties au courant des années 70’s, Human Lanterns se distingue par le soin relatif apporté à sa réalisation ; ce qui ne l’empêche pas de souffrir de quelques gros défauts inhérents au genre.
Un film s’appuie sur un véritable langage cinématographique, tant au niveau de la réalisation, que du scénario. Comme toute grammaire, les règles établies peuvent se faire approprier par leur auteur, modifiées, prolongées, voire même...