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18 Bronzemen    (1976)

 
 
 
Réalisateur :
Joseph Kuo Nam Hung

Producteur :
Joseph Kuo Nam Hung

Chorégraphe :
Chan Siu Pang, Cliff Lok Kam Tung, Wong Fei Lung

Scénariste :
Joseph Kuo Nam Hung

 
Autres titres : Eighteen Bronzemen (Titre HK)
Shao lin si shi ba tong ren (Titre HK)
Shao Lin szu shih pa tung jen (Titre HK)
少林寺十八铜人 (Titre HK)
Les 18 hommes de bronze (Titre Français)
7 Hommes de bronze (Titre Français)
Shaolin et les 18 Hommes de Bronze (Titre Français)
Pays : Taiwan
Studio : Hong Hwa International Films (HK) Ltd.
Genre : Kung fu
Durée : 96 min.
Vidéo : Couleur
Audio : Parlant (Mandarin)
 
 Casting :  
Carter Wong Ka Tat
O Yau Man
Polly Shang-Kwan Ling Feng
Chang Yi
Yee Yuen
Liu Ping
Tin Peng
Kong Nam
Su Chen Ping
Wong Fei Lung
 
Au Lap Bo
Chan Lau (2)
Chu Tiet Wo
Lo Bik Wan
Shaw Luo Hui
Woo Gwong
Yuen Sam
  Assistant-réalisateur :
Cheung Paang Yik

Directeur Photo :
Jung San

Histoire Originale :
Joseph Kuo Nam Hung
   
 
(équipe et casting réduit)

Résumé

Durant la dynastie Ming, le Gouvernement est codirigé par des douzaines d’eunuques maléfiques. L’un d’entre-eux, Wei, avec l’aide de sa petite armée, dirige d’une main de fer le pays, n’hésitant pas à tuer tous ceux qui osent s’opposer à eux. Yung, l’une de leurs victimes parvient à s’échapper et atteint le Temple de Shaolin.
Dix ans plus tard, le jeune homme qui a maintenant grandi, parvient à vaincre les légendaires 18 hommes de bronze et peut alors quitter le temple. Arrivé dans une petite ville, il se heurte à des hommes de Wei et à Hsiao sa fille adoptive. Yung leur annonce qui il est vraiment et leur ordonne de le dire à leur chef. Quelques jours plus tard, il est invité à un duel. Là, il est hélas laissé pour mort, mais il sera sauvé par Hsiao qui lui confie que tout comme lui, elle cherche à se venger du massacre de sa famille par le tyran. Le duo vengeur doit alors se perfectionner pour mener à bien son plan...
 
  Critique  

18 Bronzemen est un film d'arts martiaux "old school", comme ceux qu'on réalisait à Hong Kong jusqu'à la fin des années 70 (avènement de la nouvelle vague qui allait bouleverser les codes : Patrick Tam, Tsui Hark, Ann Hui...). Tout y est classique : l'intrigue, légèrement teintée de politique historique, avec son lot de traîtres à...
 
 
>> lire la critique complète David-Olivier Vidouze 2/1/2002
 
  Notes  
1.  A la fin de la première journée de tournage, les 18 acteurs interprétant les hommes de bronze commencèrent à avoir des nausées, s'évanouir, ne pas se sentir bien, à tel point qu'il fallut les évacuer en ambulances. Le diagnostic fut simple : la peinture dorée qui recouvrait leur corps empêchait la peau de respirer en en bouchant les pores.
Pour toute la suite du tournage, ces acteurs ne restèrent pas plus de 4 heures avec de la peinture. Pour les 4 à 6 heures restantes, ils firent de la figuration pour le même film. (DOV)
 
2.  Chef-d’oeuvre du cinéma de kung-fu des années 1970, Les 18 hommes de bronze reprend avec brio les codes du genre : une intrigue légèrement teintée de politique historique, avec son lot de traîtres à la patrie, ses séquences d’arts martiaux fortement découpées, ses étranges chevaliers androgynes... En mettant en exergue l’entraînement des jeunes disciples, Joseph Kuo initie toute la vague shaolin qui suivit dans les films de kung-fu hongkongais. Les chorégraphies, avec très peu de trucages dans la réalisation des figures, ont permis de révéler Carter Wong, dans ce rôle exceptionnel de moine assoiffé de vengeance. (Paris Cinéma)  
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